" Pas une de ces nouvelles qui ne continue à hanter l'imagination bien longtemps après qu'on en eut achevé la lecture " , écrivait Elizabeth Bowen de Cher Edmund en 1958, quand Elizabeth Taylor fit paraître en recueil douze récits publiés pour la plupart dans le New Yorker. C'était rendre hommage, en connaisseur, à la parfaite maîtrise de l'art de la nouvelle que manifestait Elizabeth Taylor dans ces textes contemporains de son chef d'œuvre romanesque, Angel. Avec l'économie de moyens des grands narrateurs, elle sait en quelques lignes y rendre sensible l'enfer banal des vies quotidiennes et le transformer en objet de comédie. L'Angleterre des années cinquante qu'elle nous peint ici appartient soudain à tout le monde. C'est notre univers.
" Pas une de ces nouvelles qui ne continue à hanter l'imagination bien longtemps après qu'on en eut achevé la lecture " , écrivait Elizabeth Bowen de Cher Edmund en 1958, quand Elizabeth Taylor fit paraître en recueil douze récits publiés pour la plupart dans le New Yorker. C'était rendre hommage, en connaisseur, à la parfaite maîtrise de l'art de la nouvelle que manifestait Elizabeth Taylor dans ces textes contemporains de son chef d'œuvre romanesque, Angel. Avec l'économie de moyens des grands narrateurs, elle sait en quelques lignes y rendre sensible l'enfer banal des vies quotidiennes et le transformer en objet de comédie. L'Angleterre des années cinquante qu'elle nous peint ici appartient soudain à tout le monde. C'est notre univers.
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